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Anonyme 20/01/2021
Installation de petites exploitations biologiques ou création d' exploitations "municipales" pour alimenter les circuits courts (appros pour la restauration collective et les crèches en priorité, dons aux administrés....)
Création de jardins potagers collectifs, ateliers et activités autour du jardin et du potager en mettant l'accent sur l' éducation à l'environnement, et l'éducation à l'alimentation.
Anonyme 21/01/2021
Que le Cotentin soit résiliant au niveau alimentaire , que cette résilience soit varier au niveau de notre territoire en fonction de notre climat , en développant un. maximum les filières bio et végétarienne . Essayer d’inclure au maximum les écoles les citoyens.Develloper le composte dans les déchèteries.favorises les coopératives
Anonyme 22/01/2021
La transition des cultures, former et sensibiliser les acteurs autour de l'agriculture et les consommateurs au vivant. L'importance de respecter l'environnement réellement et non pas en pratiquant l'énumération des principes ou des orientations politiques...
Laurent 22/01/2021
Remettez en place des accès aux sources d'eau gratuitement afin de remplir nos bouteilles pour la semaine... Ça vous fera des économies en n'ayant plus à collecter et retraiter toutes les bouteilles en plastique....et ce sera bon pour la santé et l'environnement !
Anonyme 22/01/2021
Concernant l'élevage, la priorité doit être à la décarbonation des pratiques agricoles : arrêt des importations de fourrages, minimisation du recours aux fourrages produits en France, et passage au tout herbe. Le Cotentin a cet avantage majeur : une herbe riche et qualitative y pousse quasiment partout !

Concernant l'agriculture plus généralement, la priorité devrait être à la diversification des cultures : légumineuses, champignons, fruits (autre que les pommes), légumes et céréales. Une telle diversification apporterait davantage de résilience alimentaire et une moindre dépendance aux importations (même nationales) et à l'empreinte carbone que ces dernières impliquent.
Stéphane 24/01/2021
Après un éclairage exhaustif des pratiques et des acteurs de l'alimentation ( secteur clé pour le Cotentin) Il serait bon pour tous, de casser les murs qui permettrait une éventuelle collaboration: pour rechercher les besoins et proposer une prospective pour notre territoire. La préoccupation environnementale, doit être la clé de voute de toutes les futur décisions politique sur ce sujet, en particulier, afin de créer une dynamique. La juste valeur des produits issus de la production agricole est très loin, aujourd'hui, de permettre à ce secteur d'avoir les moyens humains de cette perspective ! Il y a du travail !
Anonyme 24/01/2021
Développement circuit court
Anonyme 24/01/2021
Accompagner les exploitations agricoles dans une transition obligatoire vers de meilleures pratiques
Développer l’agroecologie sur le Cotentin pour produire plus de fruits et légumes et accroître ainsi la résilience alimentaire du territoire
Jean-René 27/01/2021
Soutenir les agriculteurs et à l'installation dans des exploitations à dimensions humaines pour une agriculture raisonnée en favorisant les circuits d’approvisionnement des collectivités, écoles, maisons de retraite, FJT, ect...permettant d'être un socle dans les productions. Appuyer une communication sur les circuits courts de manière à donner l'accès au plus grand nombre avec des prix abordables en favorisant le plus grand panel de produits bruts et transformés donnant une valeur ajoutée aux producteurs. Donner au PAT toute sa place au sein du PCAET à commencer par l'empreinte carbone et GES.
Jean-Sébastien 24/01/2021
Les porteurs-euses de projets environnementalement soutenables, et donc à taille humaine, connaissent des difficultés d'installation et in fine de rémunération en activité. Si l'on regarde le salaire ramené à l'heure travaillée, l'agriculture et notamment le maraîchage Bio diversifié, est un secteur où les rémunérations sont très faibles, comment amener les personnes à s'investir dans ce milieu où les situations économiques sont si précaires?
L'agrictulure Bio et locale doit être largement subventionnée, comme l'est l'agriculture productiviste... donc ce serait un minimmum. La question primordiale est là, la structuration se fera seulement si ce prérequis est assuré.
Aurore 24/01/2021
Selon moi, les sujets prioritaires à développer au niveau de l'alimentaire concernent les lieux de restauration collectifs. Tout d'abord, il serait pertinent de proposer une alternative végétale tous les jours dans les lieux de restauration collectifs, aussi bien pour les élèves, les étudiants et les salariés. Pour cela, il serait important de former les personnels à la cuisine végétarienne et végétalienne afin que cela ne soit pas une contrainte, mais une découverte attractive et que les plats soient équilibrés et savoureux. Dans plusieurs lieux collectifs, les produits bio et locaux sont privilégiés. Il est important de continuer dans cette voie.
emmanuel 26/01/2021
Une juste rémunération des paysans pour leur triple travail de :
1 - production alimentaire de qualité (surtout en bio)
2 - gestion des paysages, de la diversité de nos campagnes (haies, landes, bois, prés) et stockage de carbone (en cas d'agriculture de conservation ou MSV)
3 - maintien d'un tissu social et économique dans le milieu rural.
Vincent 26/01/2021
Bonjour. Il est primordial d’investir dans des terres maraîchères à proximité de la Communauté de communes. Ces territoires, trop facilement cédés pour de la construction immobilière, sont notre atout pour un approvisionnement local et sain de nos cantines, et restaurants de collectivités.
Non seulement ces investissements agricoles créeront des emplois, mais permettront à la CUC de ne plus dépendre des grands groupes alimentaires.
Nos enfants veulent se balader entre les rangs de carottes (qu’ils dégusteront bientôt), pas sur les parkings bétonnés de supermarchés.
Anonyme 27/01/2021
Plus de végétal, plus de bio, moins de sucré.
Proposer le choix de repas végétariens et végétaliens dans les menus.
Anonyme 28/01/2021
Proposer une réelle education alimentaire, en priorité aux enfants, en lien avec les etablissements scolaires et les structures d'accueil, en ciblant la decouverte des aliments, la degustation à travers les 5 sens, l'écoute et le respect de ses sensations alimentaires...
Anonyme 03/02/2021
Renseigner les gens sur les circuits courts existants, insister sur l'importance des produits locaux et saisonniers par rapport aux autres labels, favoriser la mise en place des magasins de producteurs et aider l'insertion des produits locaux dans les grandes surfaces.
Amélie 03/02/2021
Trouver des solutions pour accompagner les agriculteurs vers un travail de la terre agro-écologique, et proposer des circuits courts systématique entre cuisine central des collectivités et producteurs.
Anonyme 01/02/2021
- proposer une alimentation de qualité respectueuse de l'environnement, de la santé humaine et au maximum locale dans les cantines des établissements scolaires et autres structures de restauration ;
- soutenir les productrices/teurs et actrices/teurs locaux investis dans une démarche de qualité, respect de la nature et de la santé ;
- les rendre plus visibles au public (rencontres sur le territoire, catalogues en mairies...) ;
- sensibiliser la population au "mieux-manger" sans se ruiner (conférences, ateliers avec des professionnels (nutritionnistes, chef(fe) cuisinier...)) ;
- revaloriser les métiers de l'agriculture et aquaculture.
Anonyme 03/02/2021
-Favoriser les bonnes pratiques environnementales en agriculture bio comme en agriculture conventionnelle.
-Evaluer les besoin du territoire pour une autosuffisance (au minimum) calorique et protéinique.
-Favoriser l'accès à des jardins potager pour les habitants sans jardins (type jardins ouvrier, jardins partagée...).
-Favoriser les pratiques de pêche préservant au maximum l'environnement.
-Soutenir des projets expérimentaux dans l'agronomie favorable à l'environnement et permettant un bon rendement à la surface.
Anonyme 03/02/2021
DES REPAS VÉGÉTALIENS DANS LES CANTINES SCOLAIRES, ENTREPRISES....
Isaline 11/02/2021
En tant qu'agricultrice, je ne crois pas que le TOUT herbe est une solution, car le tout herbe = semer l'herbe + engrais chimiques + la récolter pour faire ses stocks pour l'hiver (c'est à dire une coupe toutes les 3-4 semaines = 1 passage de faucheuse + fanage + andainage + récolte soit une ensileuse, plusieurs remorques et un tracteur qui tasse le silo). L'herbe pâturée est la plus écologique certes, mais le fourrage d'hiver, il en faut sinon on peut faire du foin, mais nos productions seront minimales voir néant pendant l'hiver. D'autres fourrages sont aussi bons à la fois pour l'animal et les sols, en tout cas pas plus polluant. Imposer le tout herbe n'est pas une solution. Par contre, travailler pour avoir de l'alimentation pour nos animaux locale, je dis oui comme en tant que consommateur. Faire des partenariats avec des céréaliers provenant de régions voisines qui produiraient nos protéines comme le colza, ou bien des mélanges de pois, féveroles. Localiser nos aliments de nos animaux que nous ne pouvons pas produire dans notre région (soit elles viennent d'Amérique ou des pays de l'est de l'Europe en général), c'est garantir au consommateur une nourriture LOCALE de la fourche à la fourchette. Nous sommes convaincus les agriculteurs de faire de la proximité, au consommateur d'aller chercher la proximité et non la facilité à aller au plus près plutôt que dans les grandes surfaces qui se font leurs marges grâce aux produits annexes à l'alimentation. Nous on sait produire, il y a sans nul doute des améliorations à faire, comme dans tout métier, pourquoi pas à la région d'aider pour mettre en relation des petits points de transformation et de ventes.
Anonyme 11/02/2021
Lutter contre l'usage des pesticides,
Encourager l'agriculture raisonnée par la formation, l'aide et l'encouragement financier
Faciliter les circuits courts
youssef 25/02/2021
Je suis pour le retour de la consigne des contenants et pour la qualité et la saisonnalité des fruits et légumes. Je consommerais le bio et le local, s'ils répondent à certaines exigences (sans traitement- du gout - emballage...).
Sanson 08/03/2021
Circuit court et agriculture raisonnée et le bien être animal.
Anonyme 08/03/2021
Développer des points de vente des produits locaux accessibles aux personnes qui travaillent toute la journée et ne peuvent réaliser leurs achats sur les marchés (ouverture tardive et week-end)
Lucille 08/03/2021
Bonjour,
quelques propositions: circuits courts, le bien et bon manger dans les restaurants scolaires, l'education aus goûts dès le plus jeune âge, une agriculture locale éco responsable qui ouvre ses portes aux consommateurs.

cordialement,